« On grandit lorsqu'on est malade ou lorsqu'on souffre, lorsqu'il faut faire face à une perte douloureuse. On grandit si l'on ne se met pas la tête dans le sable, mais au contraire si l'on accepte la souffrance en essayant de la comprendre, non pas comme une malédiction, mais comme un cadeau fait dans un but précis »
Elisabeth Kübler-Ross, médecin

Pour me connaître, il faut lire, ''Entre les ligne '', juin 2009

lundi 28 mars 2011

CHANTAL JOLIS...



J'ai été bouleversée par le témoignage de Chantal Jolis
hier à '' Tout le monde en parle ''.

''Le pire avec cette maladie c'est que on n'a pas l'air malade''.

''Tous ces deuils que j'ai dû faire...''

La pensée au suicide...

Ce qui la tient aller, l'amitié...

Quelle force...

Quel courage...

Je me suis vu en elle...



......................................


7 commentaires:

  1. je n,ai pas vue l'émission elle a quoi cette dame ?

    RépondreSupprimer
  2. Le Parkinson, c'est une sentence à vie et j'espère que la recherche fera RAPIDEMENT de grands pas. Moi aussi, elle m'a émue. Je me rappelle encore sa voix inégalable à la radio! Le deuil de tout ça doit être atroce pour elle. Hier, c'était un grand moment, elle recevait une bonne dose d'amour! Mais le quotidien doit être si difficile...

    RépondreSupprimer
  3. En effet c'était très émouvant de la voir. C'est une maladie épouvantable, se voir dépérir de jour en jour.

    RépondreSupprimer
  4. Oui, moi aussi... Et toujours ce si beau sourire qui lui colle à la peau. Ma petite maman souffre aussi du Parkinson mais à un niveau moins important.

    RépondreSupprimer
  5. Il y a des personnes qui souffrent avec tant d'élégance... et de tendresse.
    Mille doux et tendres petits bisous.

    RépondreSupprimer
  6. @ Éléonore, voici, j'ai trouvé pour toi, l'entrevue...

    Bonne journée, je vais te lire aujourd'hui... xox

    RépondreSupprimer
  7. Je sais que les maladies ne se comparent pas, mais je la comprends tellement... Et ce qui me touche le plus, ces sont ces centaines de petits deuils si douloureux, qu'elle a fait, puis elle a parlé des très gros deuils, mais tous ces plus petits, au quotidien, qui s'empilent, et aux fil des ans, te change... Font en sorte que tu demandes...

    '' De trouver ta place... en tant que personne différente''

    Elle voulait dire différente, oui, comme personne parkinsonnienne, mais je suis certaine qu'une partie d'elle s'est battue à une période de sa vie au moment où elle perdait la personne qu'elle était, au moment où elle devenait une personne différente...

    Pas facile de se voir changer, de se voir perdre ses capacités, par une maladie, ou par une autre...

    Merci à vous d'être près de moi xoxo

    RépondreSupprimer