« On grandit lorsqu'on est malade ou lorsqu'on souffre, lorsqu'il faut faire face à une perte douloureuse. On grandit si l'on ne se met pas la tête dans le sable, mais au contraire si l'on accepte la souffrance en essayant de la comprendre, non pas comme une malédiction, mais comme un cadeau fait dans un but précis »
Elisabeth Kübler-Ross, médecin

Pour me connaître, il faut lire, ''Entre les ligne '', juin 2009

mercredi 7 avril 2010

RAFIOT 3



Un naufrage...

J'ai ressentis un grand vide, un très grand vide, un manque de force, de courage, comme une brisure intérieure...


Puis, il y a eu une soirée avec ma soeur,
la visite du loup, le poème du filleul, le temps avec ma fille,
les repas en famille,la reconnaissance du talent de MIST,
le cierge de Ginette, l'ange d' Hélène,
vos bons mots, le boeuf bourguignon de Maman,
le CHOCOLAT, le CHOCOLAT,

Et toujours, les bras de mon amour...

Alors nous reprenons tous les rames, sortons du marécage et retournons vers le soleil...



Bonne route !


9 commentaires:

  1. Bravo et bon courage! Je ne t'oublie pas.

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  2. et on t'accompagne sur cette route...

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  3. Bonjour Dom.
    Nous sommes heureux que tu decides de ramer.
    S'il le faut J'acheterai un hors-bord mais
    ton

    rafiot va arriver a bon port.
    Avec Amour
    Mom & Dad

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  4. Coucou, j'ai reçu...
    Dominique, je vois beaucoup beaucoup d'amour autour de toi à travers ce billet et ça réchauffe le coeur. N'est-ce pas ce qu'il y a de plus important, cet amour... Et avec tout tout ce beau vert, le soleil et l'espérance y sont pour rester.

    Rappelle-toi, l'espérance... Elle est amour et c'est elle qui nous tient si fort et rassure.

    Je t'embrasse et te reviens!

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  5. @ vous tous merci,

    Papa, vous avez doutez, vous aussi ?... Pourtant, ça fera 25 ans que nous ramons, c'est parfois tellement doux, calme, reposant, souvent tellement doux et parfait, que les 5 dernières années et les quelques moments difficiles des 25 dernières années, c'est rien dans l'fond... On se serre les coudes, hein, pis on crois... Pis on rame...

    Une journée à la fois...

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  6. Bonsoir Dominique,

    Il faut parfois ramer longtemps pour atteindre la rive, mais tu verras que ce long voyage en vaut la peine. On voit ensuite le monde avec un autre regard, on se sent plus serein et on attache de l’importance à ce qui en a vraiment.
    Pourquoi faut-il prendre un rafiot pour trouver la paix ? Je n’ai pas de réponse à te donner Dominique, ce que je puis te dire, c’est que ce périple est indispensable. Tu vogues dans la bonne direction.
    Gros bisous et pensées chaleureuses.
    À bientôt !

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  7. Je fais un escale pour prendre de tes nouvelles. Je crois que ton voyage sur le rafiot te fait vivre du recul pour mieux avancer... Continue de ramer Dominique et tu arriveras à bon port.
    Becs sue-crés xx au chocolat fondant.

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  8. Je me retrouve souvent dans tes écrits, tu es si vraie.
    J'aurai pu écrire ceci cette semaine "J'ai ressentis un grand vide, un très grand vide, un manque de force, de courage, comme une brisure intérieure..." dans mon cas la maladie en moins, mais un autre soucis en plus.
    Comme toi je rame, je ceuille le bonheur comme des perles de rosée une à la fois. C'est sans doute le secret: un jour à la fois en prenant appuis sur les petits bonheurs qui mis bout à bout deviennent de grands. :)
    Bonne journée xxx

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