« On grandit lorsqu'on est malade ou lorsqu'on souffre, lorsqu'il faut faire face à une perte douloureuse. On grandit si l'on ne se met pas la tête dans le sable, mais au contraire si l'on accepte la souffrance en essayant de la comprendre, non pas comme une malédiction, mais comme un cadeau fait dans un but précis »
Elisabeth Kübler-Ross, médecin

Pour me connaître, il faut lire, ''Entre les ligne '', juin 2009

mercredi 6 octobre 2010

PRISE...3



Nouvelle date... le 15 octobre,
s'il n'y a aucune urgence,
je serai à Montréal en salle d'opération...


5 commentaires:

  1. Ça va venir vite.

    Je te souhaite que ce soit LA vraie date et que tu puisses passer à l'étape suivante.

    J'te fait un colleux virtuel rempli de courage.

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  2. C'est décevant d'avoir à refaire toute la préparation mentale, je te souhaite que cette fois ce sera la bonne. Mes pensées t'accompagnent.

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  3. Merci à vous deux, j'espère que ce soit la bonne...
    Je suis trop fatiguée...
    Ce week-end, je remets les clés du bureau, je n'y retourne plus, que ce soit remis ou pas...
    Je dois décrocher une fois pour toute... Et me reposer...

    On se croise les doigts xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx

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  4. Bonsoir Dominique,
    Comme hier, je fixe encore l'écran. Quels sont les mots qui résument ma pensée?
    J'ai de la colère mais je ne peux pas te le dire.
    Je suis inquiète mais je ne peux pas te le dire.
    Je regarde ta jolie photo, je vois ton beau sourire et tu es belle.
    Tu sembles en pleine forme mais je sais que ce n'est pas possible. Trop d'émotions depuis quelques semaines...
    Ce qui me rassure c'est ta démarche avant de faire le choix du type d'opération.
    Je fais confiance à la compétence de ton médecin et à ta force mentale.

    Je t'embrasse tendrement et t'envoie de doux et tendres becs chinois.
    J'ai hâte de te relire.

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